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Philippines

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1 janvier 2007

Retour à la maison

Même les meilleures choses ayant une fin, on est bien obligés de quitter Boracay pour rentrer à la maison. En se levant, vers 6 heuresdu matn, on a une pensée pour ceux qui, en France, ne sont toujours pasen 2007.
Re-tricycle et re-bateau pour rejoindre Caticlan. De là, on prend un bus pour aller a Kalibo, à environ 2 heures de route. Arrivés a Kalibo, il nous reste un peu plus d'une heure avant le décollage, donc on se prend le temps d'un petit déjeuner, le dernier sur le sol philippin (snif snif).

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A côté de l'aéroport, on se trouve un restaurant dont la terrasse donne directement sur une rizière. La terrasse est en bois, sur des pilotis qui sont plantés à même la rizière. Un cadre plutôt agréable.

Il est temps d'aller enregistrer les bagages. L'aéroport est miniscule, ça va aller vite. Hum hum ... pas vraiment. Quand c'est notre tour, le petit vieux qui s'occupe d'enregistrer les bagaes et de nous délivrer les billets à l'air très embarassé. Quand je lui demande ce qui ne va pas, il fait semblant de ne pas méntendre, et quand j'acroche finalement son regard, il me fait un sourir gêné, et c'est tout. Ses collègues se succèdent, scrutant nos passeports, fixant un écran d'ordinateur, perplexe devant nos bagages. Et toujours pas un mot pour nous ... L'avion décolle à 10h40 et il est ... 10h40. Là, j'arrive enfin à parler avec le vieux de l'autre côté de la glace, et je lui dit que notre avion va bientôt décoller. "Pas de problème, l'avion vous attendra" me dit-il avec un sourire. Pardon ?! L'avion nous attendra ?
10h50, nous voilà enfin munis de nos billets d'embarquement. On file a travers la douane, et là, on se rend compte que les gens n'ont pas encore tous embarqué. Le vieux avait raison, l'avion est touours là. Üne fois à bord, on comprends pourquoi ça a pris autant de temps : nous sommes installés en première classe. Les sièges sont énormes ! Dommage que cene soit que le vol pour rejoindre Manille (environ 45 minutes).

Manille. Nous devons attendre 5 heures avant notre avion pour Taipei. Malheureusement, l'aéroport de Manille n'offre rien d'excitant, a part une sieste dans la 'cantine', et un tour des magasins duty free, qui sont peu nombreux et peu fournis.

Taipei, nous revoilà.

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31 décembre 2006

Happy new year !

Encore une fois, rien de neuf quant au programme de la journée. On barbotte, on boit, on barbotte, on mange ...

Le soir, par contre, on se fait un petit plaisir. Après l'apéro, Céline se fait faire des tresses pour faire une coiffure de fête, et on se fait un dîner de plus sur la plage, à la différence que ce coup-ci, on se gâte.

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Poisson et langouste grillés au menu. Mama mia que c'est bon ! Avec un petit verre de vin blanc pour accompagner le tout, c'est du pur bonheur. Bon, y a peut-être le sable entre les orteils qui est un peu gênant ... non, je déconne ! Y a vraiment rien à redire.

En plus, avec ses lentilles vertes, son bronzage irréprochable et ses tresses, Céline est magnifique. L'année 2007 se termine en apothéose. P1000793

Une fois le dîner fini, on errent le long de la plage pour trouver un endroit pour attendre que minuit arrive. Techno ? Pas vraiment motivés ... Raggae, ça nous va mieux. Toujours sur le sable, un café a installé des tables et une scène avec un groupe de raggae en live. Toutes les tables étant déjà prises, on se retrouve assis avec un philipin de Manille qui est venu ici en vacances.

Voilà, nous y sommes ... 5 ! 4 ! 3 ! 2 ! 1 ! ... BONNE ANNÉE !!!


Countdown
envoyé par loy_sensei

On se trouve à peu de chose près au milieu de la plage. Juste à côté de nous commence un feu d'artifice, simultanément deux autres sont lancés aux extrémités de la plage. On ne sait même pas ou regarder. On reste debout, pieds nus, verre à la main, le nez levé et à sourire comme des gamins. L'année démarre de manière royale.

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Bonne année a vous tous !

30 décembre 2006

Vamos a la playa

Le programme de la journée tient en quelques mots : Baignade, sieste sur le sable, apéro, baignade, repas sur la plage, apéro ...

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29 décembre 2006

Le paradis au sable blanc

Après ces 5 heures passées sur le bateau, avec la télé à fond et la clim qui me goutte sur la tête,  nous voici enfin à Caticlan, où nous prendrons un autre bateau (le dernier, enfin) pour Boracay. Mais il est 4h du matin, et pas de bateau à cette heure-là. Le premier part à 7h. Direction le hall du port pour une fin de nuit sur des sièges en plastique. Malgré le manque de confort, on arrive tout de même à dormir et nous sommes bien contents quand lebateau quitte Caticlan.

20 petites minutes de traversée et nous posons enfin le pied sur cette île tant désirée. Mais nous ne sommes pas encore posés ... Au lieu de prendre les tricycles, on part à pied vers la plage, on aime bien marcher. Cependant, au bout de 20mn de marche, la courte nuit commence à se faire ressentir, et on se dit que, tous comptes faits, on aurait mieux fait de prendre un tricycle. Comme s'ils avaient lu dans nos pensées, 2 employés d'un resort dans la camionette deleur hôtel s'arrêtent á notre hauteur et se proposent de nous conduire à la plage, gratuitement. Encore une fois, la chance est de notre côté.

Et nous y voilà enfin. Une plage tout en longueur, du sable blanc, des palmiers ... ça vallait vraiment le coup.

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Le temps est couvert, mais ça n'enlève rien au choc qu'on se prend en découvrant cet endroit.

Après avoir visité plusieurs hôtels, on trouve ce qui doit êtrele moins cher de la plage, et loin d'être le plus sale. Il est très propre, peintures refaites récemment, vue sur la mer, grande chambre. Tout ce qu'on voulait. C'est loin d'être le plus classe de tous les hôtels de la plage, mais quel est l'intérêt d'avoir une piscine au bord d'une eau aussi claire et chaude, et une grande suite alors qu'on va passer notre temps sur le sable ?

Pour ceux que ça pourrait intéresser, l'hôtel s'appelle le Starfire, et il se trouve au sud de la plage, au calme.

Une bonne baignade, et on file faire une bonne sieste, la nuit n'ayant pas été de tout repos.


Par la suite, on prend notre rythme de croisière que l'on suivra pour les 3 jours que nous passerons ici : baignade, ballade sur la plage, apéro, resto. Voilà à quoi ça se résume. Repos. Qu'est-ceque c'est bon !

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Tiens, ce soir, on va se faire un plateau de fruits de mer et poissons au barbecue, les pieds sur le sable.

Il fait quel temps chez vous ?

28 décembre 2006

En route vers Roxas

6h du matin, mal réveillés, un peu la gueule de bois, on attend assis à l'arrière du jeepney qu'il se remplisse un peu et qu'on fasse route vers Boracay. Pour ça, il nous faudra environ 20mn de jeepney jusqu'à Puerto Gallera, ensuite re-jeepney pour aller a Roxas, environ 1h30, sur quoi on enchaine en minivan pour 3h en direction de Roxas, et enfin, 5h de bateau pour enfin arriver a Boracay. Une plage pareille, ça se mérite.

Tout le trajet ennoncé à l'instant se passe bien, sauf à l'arrivée a Roxas, à 12h15, où on nous annonce que le bateau est parti a 12h et que le prochain nést pas avant 19h ... Bon ... tant pis ... A première vue, Roxas n'a pas l'air d'être une ville très accueillante, et le port, où nous sommes bloqués, est a 2km de la ville. Tant qu'à glander, autant aller glanderau bord de l'eau. On longe le port par la droite, passe à travers un tout petit village et là on se pose sur une digue pour regarder la mer.

Plusieurs enfants semblent assez curieux de nous voir assis ici, alors que la plupart des gens ne font que passer par là ; ils montent dans le bateau dès la descente du bus. Les enfants sont tout d'abord timide, nous regardent à peine et s'enfuient en riant dès quenos regards croisent un des leur.

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Apparement, il n'y a pas beaucoup de passage dans ce petit village d'habitude.

Les enfants ne restent pas timides bien longtemps. Un groupe de 3 filles s'approchent de nous pour discuter, dans un anglais impeccable, et une fois que ces 3 tois là ont franchi le pas, les autres gamins affluent, en sortant d'on ne sait où. Ils ont l'air très intrigués, touchent les cheveux de Céline, carressent mon crane lisse, osent à peine toucher mon percing, même s'ils en meurent d'envie, passe une main timide sur mon tatouage, inspectent nos gros sac à dos ...

En peu quelques minutes, je compte plus de 25 gamins tout excités qui sont autour de nous. Certaines nous demandent notre adresse postale pour qu'on s'échange des lettres, devenir "pen pals" comme elles disent. L'une d'elle fait même des tresses à Céline.

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Après près d'1h30 passée en leur compagnie, on se décide à aller visiter la ville de Roxas. Les enfants ont l'air déçu que nous partions, et décident de nous accompagner jusqu'à la sortie du village. Et comme s'il y avait une frontière invisible qu'ils connaissaient tous, ils s'arrêtent tous instantanément au même endroit, peu après la dernière maison, et nous font signe de loin en criant, et rentrent finalement chez eux quand nous ne sommes plus à portée de voix.

Nous voilà donc partis à pieds pour Roxas. Les gens ont l'air étonnés, encore une fois, de nous voir marcher le long de la route plutôt que de prendre un tricycle, velo auquel est accroché une sorte de side-car.

Nous voilà donc à Roxas. C'est une toute petite ville, qui se compose, si on simplifie, de 2 rues principales perpendiculaires. Nous commençons par un déjeuner, suivi d'une petite sieste, et ensuite, une visite de la ville. Roxas est une petite ville agréable, surtout avec le temps que nous avons. Beaucoup de ruelles, calmes, ombragées servent de terrain de foot ou de champs de lancement de fusées et pétrards. Mis à part Manille, tous les endroits que nous avons visités sont calmes comme ici. Vraiment reposant.

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Ô miracle, une petite ville comme celle-ci possède un distributeur automatique de billets, flambant neuf. Le hic, c'est qu'elle n'accepte pas notre carte (ni visa ni mastercard). Mais au moins, faire la queue devant la banque nous a permis de voir un panneau que je ne pense pas (n'espère pas) pouvoir voir ailleurs. Il dit ceci :

"Merci de déposer vos armes à feu au garde"

Encore une fois, ça rassure.

Après un petit tour et une micro sieste, il est bientôt l'heure de prendre le bateau. Retour au port, et on embarque pour la traversée.

Boracay, nous voilà !

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27 décembre 2006

Final Exam

Aujourd'hui, on commence les choses serieuses. On va faire 2 plongées un peu plus profondes, avec un 'examen pratique' des techniques que l'on a répétées avec Jamy. De plus, on ne part plus en marchant depuis la plage, mais on y va en bateau, et on se laisse tomber en arrière pour rentrer dans l'eau. Ca, ça fait vraiment tout drôle !

Après avoir fait ce test, on continue a se ballader sous l'eau. Avant de commencer à plonger, Céline avait demandé à Jamy de lui promettre 2 choses :

1- qu'on ne verra pas de requins, aussi petits soient-ils
2-qu'on verrait une tortue

Jusqu'ici, pas de requin. Tout va bien. Après ce petit test, donc, la deuxième condition a été remplie. On a vue une tortue de mer. Enorme, paisible, elle est venue nager près de nous, je dirais à 3 mètres, nous a regardés avec curiosité (autant qu'il soit possible de détecter de la curiosité dans le regard d'une tortue à 16 mètres de fond), et puis est partie aussi gracieusement qu'elle est venue. Voilà à quoi elle ressemblait :

hawksbill
Elle faisait bien 50cm de diamètre. Un vrai moment de bonheur. Ca nous a fait aimer encore plus la plongée, que l'on trouvait déjà très addictive.

Cette plongée terminée, on retourne sur plancher des vaches manger un morceaux, reviser un peu notre bouquin en vue de l'examen écrit et on retourne plongée en début d'après-midi. Cette deuxième plongée se passe sur le même schéma que la première, on barbote, on fait nos exercices, on barbote ...

Cette fois, à la sortie de l'eau, on repasse par le club pour passer le test sur table. En fait, nous avons le droit de nousconcerter pour les réponses. Poru avoir lediplôme, il nous faut (si je me souviens bien) 75% de bonnes réponses, et nous avons eu 94%. Voilà, un diplôme en pus à accrocher au mur !

Pour fêter ça, on va se faire un bon resto, mais on ne traîne pas trop parce que les plongée nous ont bien fatigué. Sur la route pour aller nous coucher, on tombe sur un gars qui jouait souvent de la guitare devant le club, avec des amis à lui, et ils nous embrigadent pour les aider a finir leur bouteille de tequila philipino, plus bien entendu les bières qui vont avec.

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Ca a été une soirée fantastique. Ils étaient tous extrêment gentils avec nous, on a bu, chanté, re-bu, rechanté jusqu'à tard, mais il fallait bien se coucher à un moment, vu qu'on quitte Sabang demain matin pour aller à Boracay.


Soirée à Sabang, raggae
envoyé par loy_sensei


Sabang
envoyé par loy_sensei

26 décembre 2006

Re plouf plouf

Encore uen fois, on a de la chance, le temps est splendide. Voilà a quoi ressemble un matin ensoileillé a Sabang, près de Tina's, notre guest house  :

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Ce matin, encore un peu de théorie. Après le déjeuner, on remet tout notre attirail et on se remet à l'eau. Aujourd'hui, on fait des exercices qui sont obligatoires pour passer l'examen de plongée. On enlève notre masque sous l'eau, et on doit être capable de le remettre et ensuite de vider l'eau qui est dedans ; on échange nos détendeur, pour simuler le cas où l'un de nous n'a plus d'oxygène ; on enlève et on remet notre BCD (gilet) ... C'est un peu plus fatigant, mais vraiment intéressant. Et puis, il faut bien apprendre quelque chose. Après tout ça, on est censé pouvoir aller plonger sans moniteur, mais à 2, obligatoirement.

La plongée a duré moins d'une heure cette fois encore, à environ 10 mètres de profondeur. Et mine de rien, c'est assez fatigant. Pour se remettre, avant le dîner, on va saluer notre ami San Miguel pour l'apéro.

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25 décembre 2006

Plouf plouf

Gros changement aujourd'hui : ilfait un temps splendide. L'endroit nous paraît du coup beaucoup plus beau. On n'avait pas vu les choses comme ça.

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Ce matin, même programme qu'hier. Théorie. Mais ce qui est bon, c'est de savoir que nous allons faire notre première plongée dans une heure ou deux.

Après un petit briefing, on enfile notre combinaison, même si l'eau est a 27, les chaussons, le masque, le BCD (Buoyancy Control Device - appareil de contrôle de flotabilité) qui est en fait un gros gilet que l'on gonfle et degonfle, et enfin la bouteille. Tout ça, ça fait du poids, et c'est pas évident d'aller jusqu'à un endroit suffisement profond pour enfiler les palmes.

Une fois les palmes aux pieds et le decompresseur dans la bouche, on s'assoit au fond de l'eau. Et là, c'est la découverte d'une sensation totalement inédite. La surface de l'eau est à 1 mètre au-dessus de notre tête, mais on peut quand même respirer ! Les premières secondes, s'est un peu paniquant, on respire rapidement, comme si on savait que l'air allait nous manquer très rapidement, et puis, tout doucement, on s'y habitue, on se détend, et on commence même à aimer ça.

Pour notre première plongée, Jamy ne nous pousse pas trop avec les exercices relatifs au diplôme. Il nous laisse nous habituer à ce que nous avons sur le dos et sous les yeux. On barbote, on se ballade, mais sous l'eau. Et quelle eau ! Le fond est fantastique, les poissons et les étoiles de mer ont des couleurs que je ne pensais pas pouvoir trouver dans la nature. C'est fantastique.

Au bout de 40 minutes environ, on sort la tête de l'eau. Et là, on dirait des gamins qui sortent de Disney Land "t'as vu la couleur des étoiles de mer ?!" "Les poissons sont super beaux, y en avait partout !" ...

Ca y est, on est piqué. On a adoré, et on attend avec impatience la prochaine plongée. Aujourd'hui, c'est le 25, et le club de plongée est fermé dans l'après-midi. Donc, ce sera pour demain.

Vue qu'on est libre aujourd'hui, on décide d'aller à un autre endroit de l'île appelé White Beach. Pour y aller, il faut d'abord aller à Puerto Gallera, ville proche d'ici. On prend un jeepney, minibus bricolé maison, très coloré et décoré par son propriétaire. On en trouve partout dans le pays, et il y a comme une sorte de compétition à celui qui aura le plus beau.

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Une fois à Puerto Gallera, on prend une petite moto avec une mini cabine sur le côte pouraller à White Beach. Et il faut avouer qu'elle n'a pas volé son nom. Le sable est si blanc qu'il en est presque aveuglant. Le temps est un peu couvert, mais il fait quand même chaud. Une fois sur la plage, on se pose dans un café, pour ne pas laisser nos affaires traîner sur la plage, on se commande une bière, parce qu'il faut bien consommer, et en moins de 2 minutes, on a sauté dans l'eau. Elle est d'un bleu magnifique, le fond est plat et sabloneux comparé à Sabang, et la température est royale. Pour ne rien gâcher, il n'y a pas grand monde sur la plage. Du bonheur.

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Après une demi douzaine de baignades, quelques bières et une ballade sur la plage, on fait demi-tour pour Sabang. Demain matin, on contine la théorie à 8h30 ~9h ... on se lève plus tôt que les week-ends à la maison !

Repas avec vue sur la mer, obligé, et la journée est finie.

24 décembre 2006

Sabang

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6h du matin, donc, nous voici dans la bus pour rejoindre Mindoro, île au sud de celle ou se trouve Manille, et où nous allons passer quelques jours pour apprendre à plonger. Trois de bus jusqu'à Batangas, ou nous allon prendre le bateau. Ce sont des petits bateuax, très fins, munis d'un flotteur de chaque côté, le tout en bois. Une heure de traversée, et on met enfin le pied sur deu sable sur la plage de Sabang ; sous la pluie ...

On se trouve une guest-house, Tina's, et un club de Plongée, VIP (Verde Island Passage) divers, et on visite un peu. A la base, nous sommes venus ici pour apprendre a plonger, et passer l'examen du PADI Open Water Dive, avec lequel on pourra aller plonger où que l'on soit.

On passe cette première journée a faire nos premières leçons de plongée théoriques. La théorie se base principalement sur une vidéo, et ensuite, notre instructeur, Jamy, un anglais, nous fait un topo sur les points importants. Dans ce club, pas de vidéo en français, donc, tout se fait en anglais. Céline apprréhendait un peu, mais ça c'est super bien passé.

Une fois la vidéo digérée, on se ballade un peu pour découvrir le coin. En fait, ce n'est pas bien grand. Tout ou presque est concentré sur le bord de la 'plage'. A vrai dire, en fait de plage, c'est plutôt un bord de mer rocailleux, avec un peu de sable. Il y avait du corail partout, mais le typhon qui est passé 2 semaines avant nous a tout dévasté.

Ca y est, enfin, nous sommes sous un soleil timide, mais soleil tout de même pour le soir de Noël !!! Un petit apéro au bord de la plage ...


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... suivi d'un dîner, toujours au bord de l'eau, bien entendu. Ca peut paraître étrange comme dîner de Noël, mais on a eu le droit à un repas mi-philipino, mi-suédois. Comme vous pouvez le voir, il n'y a rien de ce qu'on s'attend a trouver sur une table de reveillon, mais il y a des choses qui nous manquaient beaucoup, comme du bon jambonneau par exemple. Le repas était moyen, mais on a passé un excellenet moment, avec bien entendu un bon verre de vin blanc.

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23 décembre 2006

Manille

Ce coup-ce, le vol est très court, 2 heures. Donc, on décolle tôt pour pouvoir profiter de la première journée. On quitte Taipei à 7h et on pose le pied à Manille à 9h. Il fait plus de 30 degrés, alors que l'on tournais autour des 10 à Taipei. Ca fait vraiment plaisir.

Une fois les bagages récupéres, nous voilà dans Manille. Pour aller dans le quartier où il y a les guest-houses, plutôt que de prendre le taxi, on décide de prendre le bus. Hors de l'aéroport, on demande a un policier de nous indiquer où prendre le bus. Etonné, il nous demande si on ne veut pas plutôt prendre le taxi. On lui explique qu'on préfère le bus, et finalement il nous indique la direction, mais non sans un avertissement "Be carefull" ... c'est encourageant comme premier contact.

On prend donc le bus jusqu'à une énorme place qu l'on doit traverser pour prendre le métro. Ca paraît tout simple de traverser un gros carrefour, mais pas à Manille. Les feux de signalisation sont là uniquement pour la décoration, tout comme les passages piétons. C'est un bordel monstrueux, et on se demande bien combien de temps cela va bien povoir nous prendre d'arriver à la station.
Une fois arrivés, non sans peine, au milieu du carrefour, on se fait attraper par des policiers qui s'addressent tout de suite à Céline en Tagalok, la langue philippine. Apparement, Céline ressemble beaucoup à une philipino. Ils voulaient savoir où nous allions, et nous ont indiqué le bon bâtiment, étant qu'il n'y a aucun panneau pour signaler le métro.

Nous voici maintenant devant la sation. Là, il faut montrer patte blanche à 2 gardes armés, qui fouillent les sacs de tout le monde. Après le policier de l'aéroport, les policiers du carrefour, c'est la troisième fois en moins d'une heure qu'on voit des gens armés !

Après le métro, il faut marcher pour trouver la guest-house. On passe devant plusieurss hôtles, grands magasins, guest-houses, et devant ous ces ebdroits se trouve un garde avec une arme. Certains ont des pistolets, d'autres des fusils à pompe, ou encore des mitraillette. On se sent un peu mal a l'aise devant ce déballage.

Devant notre gusest-house, Pension Natividad, il y a ausi un garde qui ouvre la grille pour les clients uniquement, et referme toujours derrière nous. La guest-house est très jolie, toute blanche, avec des représentations de la vierge et de Jësus dans toutes les pièces, les couloirs, et même dans les chambres. Chose qu'on remarquera tout au long du séjour, les philippins sont très croyant et très pratiquants.

Après s'être posés, on file manger un morceau. L'ambiance de Manille ne nous plaisant que moyennement (pas du tout a Guillaume), on choisi de quitter la ville des le lendemain. Etant donné que nous n'auront pas beaucoup de temps pour le chemin du retour, on se prend un billet d'avion pour revenir a Manille le premier janvier, qui s'enchaînera sur le vol pour Taipei. Pas si facile a trouver, ce billet. Ce sont les vacances de Noël, et on trouve ce qui doit être la seule agence de voyage encore ouverte en cette veille de Noël.

Ensuite, on décide de se ballader un peu dans la ville. On longe la mer vers le nord. La ville n'est pas très animée, l'air est pollué et beaucoup d'enfants viennent mandier. Ca ne va pas aider à améliorer ma premère impression de Manille.

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Au bout d'une bonne heure de marche, nous voilà à l'endroit qui était le coeur de Manille lors de l'occupation espagnole, Intra Muros.

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Les seuls véhicules qui y circulent sont les 2 roues et les calèches. Les rues sont pavées, lesbâtiments sont en grosses pierres, on sent vraiment l'inspiration espagnole. Mais, encore une fois, on voit des gens qui marchent pieds nus, qui vivent dans la rue, et lesenfants se relient autour de nous, en chantant "we wish you a merry Christmas", la main tendue pour récuperer quelques pesos. On y traîne jusqu'à la tombée de la nuit, et on se perd sur le chemin du retour, les petites rues n'aidant pas pour savoir ou se trouve le nord du sud.


Aussi étonnant que cela puisse paraître, il n'est pas très facile de trouver de la nourriture locale. Pizza, hamburgers, poulet frit, ... foisonnent, mais les boui-boui comme on les aiment ne courrent pas les rues. On opte donc pour un resto coréen, avec une San Miguel, bière philipino, qui va nous accompagner tout au long de ces 10 jours.

Etant donné qu'on prend le bus très tôt le lendemain matin (6h), on ne s'attarde pas trop et on rentre dormir à la Pension Natividad.

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